Paper Plus que la moiti du coca illicite du monde pousse dans la vall e de Huallaga au P rou, donc les Etats-Unis ont plac des luttes d’effort d’extermination contre les protestations des fermiers, la corruption r pandue, la pauvret excessive, et la violence impr visible (White 1989, 4). L utilisation du coca a t commenc e dans 1500 A.C., et c est une grande partie de l’histoire p ruvienne (Gagnon 1993, 41). Cette histoire du P rou, leur style de vie, leur situation politique, et leurs lois narcotiques doivent tre consid r s avant que ce probl me soit r solu. Beaucoup de mesures ont t prises dans le pass pour r duire la croissance du coca, mais la plupart d’entre eux ont chou . Le gouvernement p ruvien a d clar la vall e de Huallaga en tat d urgence pendant que des ponts menant la vall e soient constamment d truits, et des centaines d’officiers de police et de fonctionnaires de gouvernement sont tu s l chaque ann e (White 1989, 6). On va discuter beaucoup d tapes qui sont prises par les gouvernements am ricains et p ruviens ou qui devraient tre prises par ces gouvernements l’avenir pour r duire ou m me emp cher cette r colte ill gale. La premi re connaissance de l’utilisation de coca a t dans 1500 av. J.-C. Des feuilles de coca ont t m ch es pendant longtemps par des personnes des montagnes andines en tant que tonique. + peu pr s 2000 Indiens de Kogi qui ont chapp les Espagnols quatre si cles au pass vivent dans la vall e de Huallaga en isolation (White 1989, 5). Ces Indiens continuent les traditions de leurs anc tres de m cher le coca, qui cro t en dehors de leurs maisons. Les femmes cultivent les feuilles et les hommes les grillent dans des pots, et ils s assurent de laisser du coca dans leurs bouches toute la journ e. + une c r monie apr s l ge m r chaque m le obtient une gourde avec un b ton poussant dehors sur le dessus, qui est gard jusqu’ la mort. La gourde est employ e pour tenir la coca ne. L ingestion lente d’un peu de coca ne pare la faim, la fatigue, et les effets de la vie une altitude lev e (Gagnon 1993, 52). Par cons quent, la coca ne est une grande partie de leur h ritage . Il y a deux points de vue principaux au sujet de la coca ne et l’ conomie ; si la coca ne est bonne pour l’ conomie ou s il est mauvais. Beaucoup de gens pensent que la coca ne est bonne pour l’ conomie p ruvienne parce qu’elle permet plus d’argent de circuler dans le pays. Certains pensent que l’argent suppl mentaire pr voit de meilleurs services sociaux au P rou, et plus d’argent va aux entreprises p ruviennes. Par exemple, dans un village dans la vall e de Huallaga, un trafiquant de drogue local a pris tous les enfants dans une communaut un restaurant et les a achet s de d ner (McCarry 1996, 4). Des actions comme ceci oblige certaines communaut s d aimer les trafiquants de drogue parce qu ils versent de l’argent dans des entreprises locales. Les commer ants ne s’inqui tent pas que l’argent n’est pas l gal parce qu’ils sont trop pauvres et n’importe quel genre d’argent, l gal ou ill gal, leur permettra d’acheter les l ments n cessaires pour leurs familles (McCarry 1996, 4). Le peuple qui d testent les effets de la coca ne sur l’ conomie la d teste parce qu’ils pensent que quoiqu’elle apporte plus d’argent, elle apporte galement plus de crime et de violence (White 1989, 7). Quoique l’ conomie p ruvienne agrandi plus forte, les cadences de crime montent beaucoup aussi. La coca ne a deux utilisations l gales principales : comme anesth sique et en tant qu’aromatisant. Malheureusement, les utilisations l gales pour la coca ne fournissent un montant tr s petit d argent pour l’ conomie parce qu’il y a une demande tr s petite de la coca ne l gale. Les plus grands acheteurs de la coca ne l gale sont la compagnie Coca-Cola qui l’utilisent comme aromatisant dans leurs boissons, et d h pitaux am ricains qui l’utilisent comme anesth sique (White 1989, 8). Les diff rentes parties politiques au P rou ont des diff rents vues sur l impact de la coca ne sur l’ conomie du pays. Le probl me de la coca ne du P rou est r pandu d augmenter constamment le crime et la violence dans le pays. La majorit du crime associ par la drogue au P rou est inspir e par les diff rents groupes de milice, dont beaucoup sont secrets (Firebase Global 1997). Le plus grand et le plus commun groupe de milice au P rou est le Shining Path. Un exemple de la violence des groupes de milice est la vall e de Biavo au Huallaga central. Les militaires avaient peine entr e quand un commando de Shining Path a assassin plusieurs fonctionnaires municipaux aussi bien qu’un des candidats pour le maire du capital r gional. Dans l’attaque de milice la plus violente, cinq soldats p ruviens ont t tu s et dix ont t enroul s dans une grande embuscade. Depuis que les milices ont commenc devenir plus grand, la production de coca ne a augment de quatre cents pour-cent (Geopolitical Drug Dispatch, Juin 1995). Les h licopt res des Etats-Unis volent au-dessus du P rou en recherchant les laboratoires de coca et les cach s de milice afin d’essayer d’aider r duire le crime et la production de P rou (Holden- Rhodes 1997, 16). Beaucoup de r sidants des villages dans la vall e de Huallaga ont peur de laisser leurs maisons la nuit car leurs villages sont maintenant empi t es avec des prostitu es, la musique forte, et l’utilisation de drogue, qui a t toute provoqu e par la production du coca (White 1989, 8). Les Am ricains essayent d’arr ter les r coltes de coca rapidement croissantes en utilisant les herbicides mortels (Robberson 1998). Il y a un bon nombre d altercations au sujet de ceci car les produits chimiques qu’ils utilisent sont tr s durs sur l’environnement. Le produit chimique qu’ils veulent utiliser est si puissant que quelques grains de chimique peuvent d truire un grand arbre de ch ne plusieurs m tres de loin (Robberson 1998). Le probl me est que l’herbicide qui est meilleur pour l environnement, qui est pr f r par le gouvernement p ruvien doit tre appliqu par des avions en volant lentement et pr s de la terre. Et ces avions sont la cible des groupes de milice qui prot gent les zones, les laboratoires et les pistes d’atterrissage illicites (Holden-Rhodes 1997, 28). L’arm e am ricaine, ainsi que le gouvernement p ruvien ont envoy des troupes pour r curer les jungles et les for ts pour br ler et d truire les laboratoires ill gaux de coca. Ceci a t un peu couronn de succ s, pourtant plusieurs des soldats ont t tu s (White 1989, 9). Les deux gouvernements recherchent de meilleures voies de contr ler la production ill gale de coca. Au d but de 1991 le gouvernement p ruvien a install un service pour tudier l’utilisation des marchandises saisies des trafiquants de drogue dans ces derni res ann es. Apr s plusieurs mois de recherche, la commission a trouv des irr gularit s s rieuses et des cas de la corruption au sein des organismes gouvernementaux (Soberon 1992, 76). Ceux-ci ont inclus la disparition des drogues confisqu es, et des autres marchandises saisies comprenant l’argent, des meubles, et des bijoux. Le gouvernement p ruvien a autoris l’Arm e de l’Air combattre chaque avion qui refuse de d barquer. La corruption de la police est si profitable dans la vall e de Huallaga que la police paye de grands montants d’argent pour se placer l . La corruption est si r pandue au P rou qu’elle est pratiquement imparable (White 1989, 10). Une loi pass e en 1978 interdit la plantation de nouvelles plantes de coca, bien que les vieilles restent l gales condition qu’elles soient utilis es pour l’usage domestique (McCarry 1996, 5). En 1991 le Pr sident Fujimori a chang plusieurs des lois traitant la coca ne. Les nouvelles lois ont d clar l’argent blanchissant ill gal, et a tabli un crime pour punir des fonctionnaires de gouvernement impliqu s en facilitant l’ vasion des trafiquants captur s de drogue (Geopolitical Drug Dispatch, Oct. 1995). Fujimori a galement incorpor les lois des drogues la loi nationale et a fait une distinction entre la production l gale et ill gale de coca. Fujimori a aussi cr un service de gouvernement pour g rer le march l gal de coca en espoir de r duire la production ill gale (McCarry 1996, 6). En g n ral, Fujimori a fait un bon travail pour son pays avec ses nouvelles lois pour la coca ne. La coca ne est toujours un grand probl me dans la vall e et au P rou, et il restera toujours extr mement difficile de se rem dier. Bien que l’aide des Etats-Unis fournisse le soulagement provisoire de l’issue, les gouvernements am ricains et p ruviens doivent trouver des voies plus permanentes et plus amicales l environnement de d truire les plantes de coca ill gales. L’utilisation de la plante retourne des milliers d’ann es au pass , mais les Indiens qui ont commenc l’utiliser et continuent l’utiliser ne font pas pour profiter d’elle. C’est les trafiquants de drogue des villes qui ont transform ceci en probl me qu’il est. Afin d’emp cher ce probl me de devenir plus grand, et les taux de crime d’augmenter, le gouvernement p ruvien doit trouver des moyens d’interroger des officiers de police pour arr ter la corruption. La corruption de police est galement un des raisons sup rieures pour lesquelles le crime continue accro tre une norme cadence. Le P rou doit galement trouver une voie de stabiliser son conomie sans l argent ill gal apport lui par la coca ne. Des lois plus nouvelles devraient tre mises en place et certaines de les vieilles devraient tre retir es afin d’augmenter la p nalisation des trafiquants de coca ne. Avec la correction ou au moins le d but de faciliter la plupart ou toutes ces complications, le probl me de la coca ne du P rou peut rigoureusement diminuer, et probablement se terminer tout fait. BIBLIOGRAPHIE ANNOT+ 1. Robberson, Tod, le 5 mai 1998, A Two-Edged Sword For The War On Drugs, Toronto, The Toronto Star Article de journal qui parle de comment les Etats-Unis souhaitent utiliser des produits chimiques pour d truire le coca ill gal. L’article montre aussi des r sultats et de diff rents id es sur le sujet. 2. White, Peter T. “Cocaine’s Deadly Reach.” National Geographic, janvier 1989, p3. Article concernant les origines de la coca ne au P rou, et comment le probl me devient plus mauvais. Il est galement tr s d taill au sujet des effets de la coca ne sur le peuple et le gouvernement. 3. The Geopolitical Drug Dispatch. “Collapse of Coca Prices” [http://www.ogd.orq/gb/48APECTA.html] octobre 1995 Parle de plusieurs grands bustes de coca ne et du d clin dans les prix du coca. 4. Firebase Global: A Worldwide Intelligence Forum. “The Guerillas of Peru” [http:/lwww.alenafix.com/old-fbg/articles/peru01.html] mars 1997 Parle des groupes de milices p ruviens et ce qu’ils font en actuel au P rou qui rendre le probl me de coca ne incontr lable. Discute aussi ce que le gouvernement fait au sujet des groupes de milice. 5. In the forests of the night : encounters in Peru with terrorism drug-running and military oppression, John Simpson, Random House, New York, 1994 Discute les probl mes avec le terrorisme, violence et trafic de drogue du P rou. Aussi, ce livre parle de comment ces probl mes pourraient potentiellement tre r solus. 6. McCarry, John. “Peru Begins Again.” National Geographic, mai 1996, p2. Article de magazine qui parle de comment le gouvernement du P rou se reconstruit dans les ann es 90. Aussi discute les nouvelles et vieilles lois du P rou sur le coca. 7. The Geopolitical Drug Dispatch. “Return of the Shining Path and Coca” [http://www.ogd.org/gbl44APEPTA.html] juin 1995 Article qui parle des diff rents groupes de milice qui sont en activit dans la vall e de Huallaga. Discute l’interposition du gouvernement dans les r coltes de coca. 8. Sharing the Secrets : Open Source Intelligence and the War on Drugs, J. F. Holden-Rhodes, Praeger Publishers, Westport, CT, 1997 Un livre qui parle au sujet de l interposition am ricaine dans les r coltes du coca du P rou et pourquoi les Am ricains veulent aider, et ce qu’elles veulent faire avec le probl me. 9. The War on Cocaine in Peru, Ricardo Soberon, WOLA, Washington, 1992 Ce livre, produit par le gouvernement am ricain parle des pactes et des trait s de gouvernement, et de la vue du pr sident sur la guerre sur la coca ne. Parle aussi du probl me r pandu de corruption au P rou. 10. Warriors in Eden, Mariano Gagnon, Morrow, New York, 1993 Discute des conditions, des relations de gouvernement, et la politique sociales dans la r gion de Huallaga du P rou. Parle aussi de comment les Indiens ont influenc cette r gion.
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